Calao; tu nous souffles de ton élan vers l’autre, sociable pluma, fin bec, aplomb sans réserve.

« Je dirais que mon premier chez-moi
C’est ma mère
Alors
C’était avec mon père
Mais quand j’ai perdu mon père
J’ai senti mon chez-moi s’ébranler
De la stabilité
Que je pensais que j’avais
C’est comme s'il y a
Un des piliers de la fondation
Qui s’était écroulé pour moi
Parce que jusqu’à ce que
Je connaisse Marcelle
Même jusqu’à présent
Je pourrais pas affirmer
Que je me sens chez moi
Encore

Je pense que je suis en train
De construire mon chez-moi
Je ne l’ai pas encore trouvé
Donc le chez-moi que j’avais
Le chez-moi que j'ai
C’était ma mère et mon père
Et quand mon père il est parti
Je me suis sentie
Comment dire…
Un peu perdue »