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Les chez-nous de
Kenia
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Extrait de la microhistoire cocréée par Kenia Espinoza Vasquez et Iphigénie Marcoux-Fortier

Kenia a quitté son chez-soi plusieurs fois par amour, mais la culture bolivienne restera toujours la sienne. Où qu’elle soit, c’est l’héritage qu’elle réserve à son fils. « On élève nos enfants mieux que ce qu’on nous a élevés », en remerciant sa mère de lui avoir tout consacré enfant, elle sait que le bonheur sera toujours là pour elle et pour son fils, si c’est elle qui le construit.

Les chez-nous de Kenia

2022, 8:30 min., microhistoire de DEVENIR CHEZ-NOUS, s.-t. ang, couleur, 16 :9, HDSR 23.976, stéréo

Une cocréation documentaire de
Kenia Espinoza Vasquez
Iphigénie Marcoux-Fortier

En conversation avec
Morgane Asselin-Duguay
Carmen Serrano Rodríguez
Le fou de bassan femelle et son œuf

Les chez-nous de Kenia
L’œuf ou la poule, la plus douce énigme, celle de la transmission. Ton regard m’apporte le souffle.

« Je suis une jeune femme
J’viens d’une famille
Assez traditionnelle
J’ai terminé mes études d’école
En Bolivie
J’avais 16 ans
De ce côté
J’pense j’ai jamais déçu mes parents
Mon développement académique
A toujours été quand même un des meilleurs
J’pense que mes parents
Aussi
Ont toujours eu un grand espoir
À cause de ça
J’ai eu également la chance
De commencer l’Université à mes 17 ans
Pis
J’ai commencé du bon pied
Et à cette époque-là aussi
J’ai rencontré mon ex-mari
À 17 ans
Par internet
C’était le coup d’foudre total
Je m’en souviendrai toujours
De cette première rencontre physique
Ça faisait plusieurs mois
Qu'on s’était parlé à distance
Pis cette sensation-là
Était beaucoup plus intense
Que ce que je m’attendais »
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Les commentaires
Iphigénie
Querida Kenia, gracias por tu autenticidad, tu amor de la precisión, tu sabiduria.
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Les chez-nous de
Sylvie P.
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