Morgane se dit que le luxe est peut-être d’avoir plus de temps devant soi dans ce « chez-nous » collectif à durée de vie limitée. Le luxe serait plus d’égalité. Chacun·e remplit le vide avec ce qu’il·elle a sous la main. Morgane se désemplit lorsqu’elle voyage, sa conscience est plus légère puisqu’il est si confortable de ne pas habiter. Parfois, son chez-nous est dans sa tête, parfois il est auprès de la famille, dans les sons qui lui rappellent la maison.
2023, 12 :14 min., microhistoire de DEVENIR CHEZ-NOUS, s.-t. ang, couleur, 16 :9, HDSR 23.976, stéréo
Une cocréation documentaire de
Morgane Asselin-Duguay
Iphigénie Marcoux-Fortier
En conversation avec
Kenia Espinoza Vasquez
L’oiseau-pêche