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Les chez-nous d’
Hélène
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Extrait de la microhistoire cocréée par Hélène Blondin et Iphigénie Marcoux-Fortier

Il lui semble voir les montagnes de chez elle. L’histoire de la Terre nourrit Hélène, qui aime à se retrouver seule, dans son atelier et dans la peinture, pour mieux aller à la rencontre des autres. Hélène peint, et récite de la prose. Pour elle, les couches de peinture sont comme les couches géologiques ou de civilisations : successives. Et tout y est lié.

Les chez-nous d’Hélène

2022, 8 :37 min., microhistoire de DEVENIR CHEZ-NOUS, s.-t. ang, couleur, 16 :9, HDSR 23.976, stéréo

Une cocréation documentaire de
Hélène Blondin
Iphigénie Marcoux-Fortier

En conversation avec
Sylvie Boulanger
Yolande Renaud
L’oiseau rebrousse-poil

Les chez-nous d’Hélène
Poussin naïf, tout réside en ton simple appel de l’enfant, hésitant, frêle, et pourtant confiant, béat du bonheur d’être chair.

« Dans mes œuvres
Y’a toujours des montagnes
En arrière-plan
De mes paysages
Et à un moment donné
Quand j’ai fait une exposition à Saint-Gabriel
J’ai expliqué aux gens
Que j’voyais les montagnes
De chez moi
Pis j’ai arrêté
Pis j’ai dit
Ben non
C’est faux
Les montagnes
J’les vois pas d’chez moi
Mais elles sont en moi
J’les vois
Quand j’viens dans l’coin
Mais de chez moi j’les vois pas
Donc elles sont restées
Dans mon univers intérieur »
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Les commentaires
Iphigénie
Chère Hélène, te souviens-tu m'avoir parlé des tes trois points cardinaux? Merci pour les paysages, les rêves et les imaginaires.
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Les chez-nous de
Morgane
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