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Les chez-nous de
Kim
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Extrait de la microhistoire cocréée par Kim Frenette et Iphigénie Marcoux-Fortier

En Alberta, en parlant la langue qu’elle voulait la sienne, Kim ne fittait pas tant que ça. Entre là-bas et ici, difficile de se sentir chez-nous. Aujourd’hui, son identité se définit mieux, dans la stabilité. Elle ne peut plus autant bouger. Alors si Kim n’a pas perdu le désir, elle a appris à déléguer. Elle puise ses croyances dans les arbres, l’océan, tout ce qui est merveilleux.

Les chez-nous de Kim

2022, 10 :04 min., microhistoire de DEVENIR CHEZ-NOUS, s.-t. ang, couleur, 16 :9, HDSR 23.976, stéréo

Une cocréation documentaire de
Kim Frenette
Iphigénie Marcoux-Fortier

En conversation avec
Thorsten Peters
L’oiseau-cage

Panachou, tu t’exhibes, tout en parure, en perlure et en verve. Ta fierté se fait songe d’un envol à prévoir. Tellement tout, dans cet espace sacré.

« Quand que j’suis déménagée
À Banff là
Quand j’avais 19 ans
Moi au début j’voulais juste
Parler en anglais
Pis rencontrer des anglophones
Pis tsé
Ma vision là
C’tait comme
J’voulais être anglophone
Pis j’suis restée là 10 ans
Pis j’me suis jamais sentie
Que là-bas je fittais
Tsé j’me suis
Plus tard
Sentie un p’tit peu différente
Tsé y avait des
Des différences entre Québécoise
Pis Western Canadian »
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Les commentaires
Iphigénie
Chère Kim, je te remercie pour la joie que tu partages si généreusement autour de toi. Une joie déterminée et déterminante.
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Claire
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